Close Mobile Navigation

LES SOINS DE SUPPORT

Le rôle de l’alimentation dans la prévention et le traitement du cancer

« Que ton aliment soit ton médicament. » Cette maxime attribuée à Hippocrate n’a jamais été aussi pertinente qu’aujourd’hui, notamment face aux enjeux liés au cancer.

De nombreuses études confirment l’impact de l’hygiène de vie sur le risque de développer un cancer, en particulier les cancers ORL et digestifs. Chaque année, près de 400 000 nouveaux cas de cancer sont diagnostiqués en France 1. Parmi eux, environ 40 % sont liés à des facteurs de risque évitables, notamment les habitudes de vie et l’alimentation.

Outre son rôle préventif, la nutrition s’est imposée ces dernières années comme un véritable pilier de la prise en charge des patients atteints de cancer. Selon l’Institut National du Cancer (INCA), une alimentation équilibrée et adaptée contribue à soutenir l’organisme pendant les traitements et favorise le rétablissement 2.

Il devient alors essentiel de comprendre comment notre assiette peut devenir un véritable allié face au cancer, tant pour le prévenir que pour en améliorer la prise en charge.

À RETENIR

  • 40 % des cancers évitables par l’alimentation (4/10) 3. Ce chiffre, mis en avant par l’INCA (Institut National du Cancer) et le ministère de la Santé, représente environ 150 000 cas par an 4.
  • Près de 500 000 cancers dans le monde sont attribuables au surpoids et à l’obésité 5.
  • Une alimentation appropriée fait partie intégrante des soins contre le cancer 2.

10 leviers nutritionnels pour prévenir le cancer

Le cancer du sein est, avec le cancer du côlon, l’un des cancers pour lesquels le lien avec l’alimentation a été le plus étudié. Mais bien d’autres cancers voient leur risque modulé en fonction du contenu de notre assiette et de notre verre.

Au cours des 50 dernières années, 10 facteurs nutritionnels et/ou comportementaux ont été identifiés comme ayant un lien convaincant avec le cancer : 5 qui augmentent le risque et 5 qui le diminuent 6.

Facteurs de risques

L’alcool

Près de 80 % des cancers de l’œsophage, 20 % des cancers du côlon et 17 % des cancers du sein sont dus à la consommation d’alcool en France 7.
Et chaque année, plus de 15 000 décès par cancer sont imputables à l’alcool. Il s’agit principalement de cancers de la bouche, de la gorge, de l’œsophage, du côlon-rectum, du sein et du foie.

Mais alors quelle quantité d’alcool peut-on consommer sans risque ? En pratique, l’augmentation du risque est constatée à partir d’un verre par jour. Le risque de cancer augmente avec la dose totale d’alcool consommée et ne dépend pas du type de boisson : un verre de vin aura le même effet cancérigène qu’un verre d’alcool fort. Mieux vaut donc profiter des boissons alcoolisées avec une très grande modération 8.

Les viandes rouges et les charcuteries

Le risque de cancer colorectal est augmenté de 30 % environ chez les personnes consommant 160 g de viande de boucherie quotidiennement comparativement à celles n’en consommant que 20 g en moyenne. Ce surrisque serait notamment lié au fer héminique présent dans les viandes de boucherie, telles que le bœuf. La viande blanche en revanche ne semble pas impacter la santé colorectale 9.

Les aliments conservés dans le sel

Le sel agirait de deux manières sur l’estomac. D’une part, la conservation des aliments dans le sel entraîne la formation de nitrosamine (substance cancérogène). D’autre part, l’excès de sel pourrait avoir un effet direct sur la muqueuse stomacale et la rendre plus sensible à des agents cancérogènes comme les nitrites des charcuteries ou la bactérie Helicobacter pylori 10.

Quelle quantité de sel peut-on consommer sans risque ? Environ 6 g par jour, pas davantage. Le sel contenu dans les plats préparés, le fromage, le pain contribuent pour une grande part à notre consommation quotidienne 10.

En France, le sel consommé provient principalement des produits transformés : pains et biscottes, charcuteries, plats préparés du commerce, soupes déshydratées, fromage.

Les compléments alimentaires à base de carotène

Chez les fumeurs et ex-fumeurs, ils augmentent le risque de survenue d’un cancer du poumon. Ces compléments sont souvent utilisés pour « préparer la peau au bronzage » ou pour protéger la peau « des effets du vieillissement » 11.

Quelle quantité de carotène peut-on consommer sans risque ? Autant qu’on le souhaite lorsqu’il provient directement des fruits et légumes (légumes verts à feuille, fruits et légumes rouges, jaunes ou orange…). Rien sous forme de complément en l’absence de prescription médicale 11.

Le surpoids et l’obésité

Le surpoids et l’obésité sont un risque majeur pour 14 cancers, en particulier les tumeurs hormono-dépendantes (sein, endomètre, prostate, ovaire…). Mais aussi l’œsophage, le pancréas, le côlon-rectum, le rein, la vésicule biliaire, le foie 12. On estime que 3 % des cancers de l’homme et 6 % des cancers de la femme sont liés à une surcharge pondérale 13. Selon l’INCA, 19 000 nouveaux cas de cancers lui sont dus chaque année (5,4 % de l’ensemble des cancers) 11.

En résumé, les facteurs augmentant les risques de cancer :

Facteurs augmentant les risques de cancerCancers concernés
AlcoolBouche/pharynx/larynx, Œsophage, Sein, Foie, Estomac, Côlon-rectum
CharcuteriesCôlon-rectum
Viandes rougesCôlon-rectum
Supplémentation en béta-carotène (à plus de 20mg/jours chez les fumeurs et ex-fumeurs)Poumons
Surpoids et obésitéCôlon-rectum, Endomètre, Foie, Œsophage (adénocarcinome), Ovaire, Pancréas, Prostate (au stade avancé), Rein, Sein (après la ménopause), Vésicule biliaire Bouche, pharynx et larynx, Estomac (cardia)

Facteurs protecteurs

Il n’existe pas d’aliment miracle ou « anticancer » à lui seul. Augmenter la consommation d’aliments protecteurs n’annule pas l’effet d’un facteur de risque tel qu’une consommation excessive d’alcool mais participe à réduire les mécanismes favorisant le développement du cancer.

Fruits et légumes

La consommation de fruits et légumes participe à réduire le risque de très nombreux cancers et notamment le cancer du poumon, les cancers des voies aériennes supérieures (bouche, pharynx, larynx et œsophage) et le cancer de l’estomac 14. Les folates alimentaires (que l’on retrouve dans de nombreux fruits et légumes) semblent également protecteurs vis-à-vis du cancer du pancréas 15. Tous les fruits et légumes sont bons, cuits ou crus, frais ou surgelés, et sous toutes leurs formes 14.

Il faut consommer au moins 5 fruits et légumes par jour, soit 400 à 500 g/jour (une portion moyenne étant de 80g), qu’ils soient frais, en conserve ou surgelés.

Fibres alimentaires

L’ensemble des aliments riches en fibres (légumes céréales complètes…)  est associé à une diminution du risque de cancer colorectal et sein 16. Au-delà des quantités recommandées (voir ci-après), le risque de cancer colorectal diminue de 17 % par portion de 90 g/jour de céréales complètes et de 7 % par portion de 10 g/jour de fibres.

Produits laitiers

La consommation de 2 produits laitiers par jour est associée à une diminution du risque de cancer colorectal 17.

Et les autres aliments ? De très nombreuses incertitudes subsistent. Les bénéfices des phytoœstrogènes de soja retrouvés dans les populations asiatiques n’ont pas été corroborés dans les études européennes 18.

L’allaitement

De nombreuses études confirment que l’allaitement maternel est associé à une diminution du risque de cancer du sein chez la mère, et ce bénéfice augmente avec la durée de l’allaitement. Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) estime qu’en France, plus de 1 600 nouveaux cas de cancer du sein diagnostiqués en 2015 auraient pu être évités avec un allaitement maternel (exclusif ou non exclusif) supérieur à 6 mois par enfant chez les femmes âgées de 30 ans 19.

À noter que ce bénéfice concerne la mère allaitante, et non l’enfant allaité.

L’activité physique

De nombreuses études montrent qu’une activité physique régulière contribue à diminuer l’incidence et la mortalité de la plupart des cancers, notamment ceux du sein, du côlon et de l’endomètre. Les mécanismes expliquant cet effet protecteur incluent la réduction du taux d’hormones favorisant la croissance tumorale (comme les œstrogènes et l’insuline), la diminution de l’inflammation, le renforcement du système immunitaire et la prévention du surpoids et de l’obésité, des facteurs de risque majeurs de cancer 20..

Nous constatons ces dernières années une explosion des peurs alimentaires et des interdits.

Muriel Richl, cadre diététicienne à l’Oncopole Toulouse.

Les modèles alimentaires protecteurs

Le régime méditerranéen est une référence scientifique pour la prévention du cancer car il combine tous les éléments protecteurs : riche en fibres, antioxydants et bonnes graisses, il réduit l’inflammation et protège les cellules. Les études montrent qu’il diminue le risque de plusieurs cancers (côlon, sein, prostate, etc.) et améliore la survie chez les personnes déjà atteintes.

L’alimentation anti-inflammatoire complète cette approche en privilégiant les aliments colorés, poissons gras, oméga-3 et épices (curcuma, gingembre) tout en limitant les produits transformés, sucres raffinés et viandes rouges. Elle combat l’inflammation chronique, facteur clé du développement tumoral, renforce l’immunité et protège les cellules.

Alimentation pendant le traitement contre le cancer

Pendant le traitement, la prise en charge nutritionnelle est fondamentale à la fois pour prévenir ou corriger la dénutrition, pour aider les patients à mieux supporter leurs traitements mais également pour participer à l’amélioration de la qualité de vie.

Une alimentation adaptée selon le type de cancer

Les recommandations nutritionnelles varient selon le type de cancer et le traitement. Les effets secondaires (nausées, troubles digestifs) peuvent nécessiter d’adapter la texture et la fréquence des repas. Certains cancers digestifs requièrent de limiter les fibres, tandis que d’autres bénéficient d’une alimentation riche en fruits, légumes et protéines maigres.

Que faire quand manger devient difficile ?

Le cancer provoque directement amaigrissement et dénutrition (40 % des patients concernés, jusqu’à 80 % pour certains cancers ORL). L’emplacement tumoral peut gêner l’alimentation, et les traitements génèrent de nombreux effets secondaires perturbant la prise alimentaire. Quand l’alimentation orale devient insuffisante, des solutions existent : nutrition entérale (sonde) ou parentérale (voie veineuse).

La nutrition un vrai médicament pour soigner le cancer ?

Mesurer l’impact de la prise en charge alimentaire dans le traitement du cancer n’est pas simple. Plusieurs études, notamment l’étude Ravasco, suggèrent que la radiochimiothérapie est moins toxique et plus efficace chez un patient ayant un bon statut nutritionnel. Cette meilleure tolérance permettrait de réduire les abandons de traitement et donc d’augmenter les chances de rémission/guérison 21. Par ailleurs le patient est moins fatigué et mieux armé pour lutter contre la maladie en cas de rechute. Et dans tous les cas, le fait de renouer avec une alimentation « plaisir » améliore sa qualité de vie.

Les questions que tout le monde se pose

Pour prévenir le cancer, certains aliments sont à éviter en raison de leur lien avéré avec l’augmentation du risque de plusieurs types de cancers :

  • Les viandes rouges (bœuf, porc, agneau, mouton, cheval) et les charcuteries (jambon, saucisson, lardons, etc.)
  • Les aliments transformés, riches en graisses saturées, en sel et en sucres ajoutés, comme les plats préparés, biscuits, sodas, chips et autres produits industriels
  • Les céréales raffinées (pain blanc, riz blanc, pâtes blanches) qui sont pauvres en fibres
  • L’alcool, dont la consommation même modérée augmente le risque de plusieurs cancers, notamment de la bouche, du foie, du sein et du côlon
  • Les aliments cuits à très haute température, notamment au barbecue ou en grillades, car ces modes de cuisson favorisent la formation de composés cancérigènes
  • Les boissons très chaudes (au-delà de 65°C), qui augmentent le risque de cancer de l’œsophage

Limiter ou éviter ces aliments, et privilégier une alimentation riche en végétaux, fibres, fruits, légumes et céréales complètes, contribue ainsi à la prévention des cancers.

Le lait est accusé de tous les maux. En particulier le lait de vache. Dans les faits, le seul lien prouvé entre lait et cancer est en faveur de ce breuvage. De nombreuses études ont conclu que « la consommation de produits laitiers est associée à une diminution du risque de cancer colorectal avec un niveau de preuve probable » 22. Cela pourrait être lié à la fois au calcium qu’il renferme et aux ferments lactiques que certains produits laitiers contiennent. Plus récemment, il a été suggéré qu’une consommation trop élevée de produits laitiers pourrait favoriser le cancer de la prostate 17. « Ces associations ne justifient pas pour le moment d’être alarmistes. Les recommandations actuelles de deux produits laitiers par jour chez l’adulte sont garantes d’un effet bénéfique des produits laitiers », explique Bernard Srour, docteur en santé publique et coordinateur du Réseau Nacre (Réseau national alimentation cancer recherche).

Le risque de cancer colorectal est accru chez les gros mangeurs de viande et de charcuterie. Il est donc conseillé de les consommer avec modération. De là à les supprimer ? Aucun travail d’expertise à ce jour ne montre que ce risque serait plus faible chez les végétariens. D’autant qu’il existe de nombreuses manières d’être végétarien. Si on remplace la viande par des produits industriels ultra-transformés à base d’isolats de protéines, il n’est pas certain que ce soit bénéfique pour la santé 23.

Les études suggérant un effet bénéfique du jeûne ont été menées sur l’animal et ne sont pas transposables à l’homme. Il n’y a donc pas de raison de promouvoir le jeûne. Sauf si vous êtes en surpoids et voulez maigrir, mais d’autres moyens que le jeûne existent 24.

Deux études récentes, l’une américaine et l’autre issue d’un sous-groupe de la cohorte française Nutrinet, suggèrent qu’une consommation élevée de produits issus de l’agriculture biologique réduirait le risque de cancer. Ces études d’observation restent toutefois à confirmer. Par ailleurs, tous les travaux réalisés jusqu’à présent montrant l’impact bénéfique des consommations de fruits et légumes ont mis en exergue que ces derniers étaient protecteurs quels que soient leur origine et leur mode de culture. Donc, même s’ils ne sont pas bio, il est conseillé de manger des fruits et légumes en quantité 25.

De nombreux aliments et épices sont portés au pinacle pour leurs vertus anticancer. Les études reposent, là encore, sur des travaux en laboratoire sur l’animal. Pour la curcumine par exemple, il faudrait consommer quotidiennement des kilos de curcuma pour espérer ingérer la dose efficace. Donc, aucun espoir de se protéger du cancer avec une pincée de curcuma. Reste que le principe d’ajouter des épices et des herbes aromatiques à ses plats permet d’augmenter leur saveur tout en diminuant le sel et les matières grasses, ce qui est indubitablement bon pour la santé. Alors pourquoi s’en priver 18 ?

  1. INCA – Cancer, votre alimentation pendant les traitements. Voir en ligne: https://www.cancer.fr/catalogue-des-publications/cancer-votre-alimentation-pendant-les-traitements
  2. ANSES, « Nutrition et cancer – Évidence de la relation nutrition et cancer », 2011. Voir en ligne (p.12) : https://www.anses.fr/fr/system/files/NUT2007sa0095Ra.pdf
  3. Ministère des affaires sociales et de la santé et l’INCA, « 40% des cancers pourraient être évités », Communiqué de presse, 18 septembre 2016. Voir en ligne : https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/180916_-_cp_-_prevention_cancers_evitables_2_.pdf
  4. Ministère de la santé et de la prévention, « 40% des cancers pourraient être évités : Le point sur l’alcool et l’alimentation », 2017. Voir en ligne : https://sante.gouv.fr/archives/archives-presse/archives-communiques-de-presse/article/40-des-cancers-pourraient-etre-evites-le-point-sur-l-alcool-et-l-alimentation.
  5. Assurance Maladie, « Surpoids et obésité augmentent le risque de cancer », 2023. Voir en ligne : https://sante-pratique-paris.fr/prevention-a-savoir/surpoids-et-obesite-augmentent-le-risque-de-cancer/ 
  6. Nacre, « Les facteurs nutritionnels en lien avec le cancer ». Voir en ligne : https://www6.inrae.fr/nacre/Prevention-primaire/Facteurs-nutritionnels.
  7. Ministère de la santé et de la prévention, « 40% des cancers pourraient être évités : Le point sur l’alcool et l’alimentation », 2017. Voir en ligne : https://sante.gouv.fr/archives/archives-presse/archives-communiques-de-presse/article/40-des-cancers-pourraient-etre-evites-le-point-sur-l-alcool-et-l-alimentation.
  8. Interview réalisée avec le Dr Bernard Srour. Profil LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/bernard-srour-pharmd-phd-mph-3884a24a/?originalSubdomain=fr.
  9. Médecine/sciences, « Viande, poisson et cancer colorectal », 2005. Voir en ligne : https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2005/08/medsci20052110p866/medsci20052110p866.html#:~:text=Le%20risque%20de%20cancer%20colorectal%20est%20plus%20%C3%A9lev%C3%A9%20d%27un,de%20volaille%20est%20sans%20effet.
  10. Nacre, « Sel et aliments conservés par le sel et le risque de cancer, les principales données ». Voir en ligne : https://www6.inrae.fr/nacre/Prevention-primaire/Facteurs-nutritionnels/Sel-et-aliments-conserves-par-le-sel-et-cancer.
  11. Nacre, « Compléments alimentaires à base de bêta-carotène et risque de cancer, les principales données », 2023. Voir en ligne : https://www6.inrae.fr/nacre/Prevention-primaire/Facteurs-nutritionnels/Complements-alimentaires-a-base-de-beta-carotene-et-cancer.
  12. INCA, « Surpoids et obésité », 2023. Voir en ligne : https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Reduire-les-risques-de-cancer/Surpoids-et-obesite.
  13. Nacre, « Nutrition & prévention des cancers : Des connaissances scientifiques aux recommandations », 2009. Voir en ligne (p.22) : https://www.cancer-environnement.fr/app/uploads/2022/06/2009_Nutrition-et-prevention-des-cancers_Recommandations_Inca.pdf.
  14. Nacre, « Fruits, légumes et risque de cancer, les principales données », 2023. Voir en ligne : https://www6.inrae.fr/nacre/Prevention-primaire/Facteurs-nutritionnels/Fruits-legumes-et-cancer.
  15. Centre Léon Bernard, « Cancer du pancréas – Facteurs de risque limités – Alimentation supplémentée en fotale », 2022. Voir en ligne : https://www.cancer-environnement.fr/fiches/cancers/cancer-du-pancreas/.
  16. Nacre, « Fibres alimentaires et risque de cancer, les principales données », 2023. Voir en ligne : https://www6.inrae.fr/nacre/Prevention-primaire/Facteurs-nutritionnels/Fibres-alimentaires-et-cancer.
  17. Nacre, « Produits laitiers et risque de cancer, les principales données », 2023. Voir en ligne : https://www6.inrae.fr/nacre/Prevention-primaire/Facteurs-nutritionnels/Produits-laitiers-et-cancer.
  18. Dr Bernard Srour, docteur en santé publique et coordinateur du Réseau Nacre (Réseau national alimentation cancer recherche). Profil LinkedIn.
  19. Nacre, « Allaitement et risque de cancer, les principales données », 2023. Voir en ligne : https://www6.inrae.fr/nacre/Prevention-primaire/Facteurs-nutritionnels/Allaitement-et-cancer.
  20. Fondation pour la recherche sur le cancer, « Les bienfaits de l’activité physique – Avoir un cancer ». Voir en ligne : https://www.fondation-arc.org/facteurs-risque-cancer/activite-physique-sport.
  21. Jocelyne Meuric, Isabelle Besnard, « Nutrition chez le patient adulte atteint de cancer : quand doit-on proposer un conseil diététique personnalisé ? », 2012. Voir en ligne (p.199) : https://www.sfncm.org/images/stories/Referentiel_Egide-SFNEP/Nutrition-chez-le-patient-adulte-atteint-de-cancer-quand-doit-on-proposer-un-conseil-di-t-tique-personnalis-_2012_Nutrition-Clinique-et-M-tabolisme.pdf.
  22. Nacre, « Produits laitiers et risque de cancer, les principales données – Lien entre produits laitiers et cancer – Niveau de preuve scientifique », 2023. Voir en ligne : https://www6.inrae.fr/nacre/Prevention-primaire/Facteurs-nutritionnels/Produits-laitiers-et-cancer.
  23. National Library of Medicine, « Vegetarianism and breast, colorectal and prostate cancer risk: an overview and meta-analysis of cohort studies », 2017. Voir en ligne : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27709695/.
  24. Centre Léon Bernard, « Jeûne et cancer ». Voir en ligne : https://www.cancer-environnement.fr/fiches/nutrition-activite-physique/jeune-et-cancer/.
  25. Inserm, « Nutrition et santé. La santé passe par l’assiette et l’activité physique », 2018. Voir en ligne : https://www.inserm.fr/dossier/nutrition-et-sante/.

Ces contenus peuvent vous intéresser

ARTICLE

Soins de support et médecines alternatives : attention aux fausses promesses et aux dérives

Certaines approches naturelles peuvent améliorer la qualité de vie, d’autres exposent à des risques graves. Faites la différence entre accompagnement encadré et fausses promesses.

ACTUALITÉS

Certains aliments peuvent-ils être bénéfiques lorsqu’on a un cancer ?

En cours de traitement, il est nécessaire de conserver un bon état nutritionnel et de ne pas perdre de poids. Pour cette raison, il ne faut en aucun cas tenter une expérience de jeûne de sa propre initiative

ARTICLE

Nutrition et cancers ORL : les questions que vous vous posez

Deux experts répondent en vidéo à vos questions fréquentes sur l’alimentation dans les cancers ORL afin de vous aider à mieux gérer la maladie.

FR-NON-01881