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Interview

3 minutes de lecture

La Pr Caroline Robert, professeure et cheffe du service de Dermatologie à Gustave Roussy, aborde dans ses propos le sujet du mélanome, en couvrant divers aspects tels que la différenciation entre carcinome cutané et mélanome, les différents sous-types de mélanome, son diagnostic, ses causes, les stades et les traitements recommandés.

Distinguer les différents types de cancer de la peau

On distingue deux grands types de cancers de la peau :

  • Les carcinomes cutanés représentent 90% des cancers de la peau et sont considérés comme des cancers qui se propagent rapidement.
  • Les mélanomes représentent 10% des cancers de la peau1, ce sont des tumeurs malignes du système pigmentaire qui se développent à partir des mélanocytes, c’est-à-dire les cellules responsables de la production de mélanine. Les mélanomes apparaissent dans plus de 90% des cas au niveau de la peau et très rarement sur d‘autres parties du corps, telles que les yeux, la bouche, le vagin, l’anus, les pieds, ou le dessous des ongles.

En 2023, ce sont 17 922 nouveaux cas de mélanomes cutanés qui ont été recensés, dont 9 109 cas chez les hommes et 8 813 chez les femmes. L’âge médian au diagnostic est de 62 ans pour les femmes et 68 ans pour les hommes2. Par ailleurs, près de 75% des cas sont diagnostiqués après 49 ans et 27% entre 15 et 49 ans1.

Pour les personnes diagnostiquées entre 2010 et 2015, le taux de survie nette standardisée était de 93% à 5 ans2.

Distinguer les différents types de mélanome

Le mélanome est un cancer qui se développe anarchiquement à partir de cellules appelées mélanocytes. 4 principaux sous-types de mélanomes peuvent être ainsi présentés :

  • Le mélanome superficiel extensif : représente environ 70% de tous les cas de mélanomes. Il a plutôt tendance à s’étendre vers l’extérieur, de manière horizontale sur toute la surface de la peau et peut parfois s’étendre de manière verticale en profondeur dans la peau. Il fait généralement 1mm d’épaisseur et possède des contours irréguliers. Il apparait, le plus souvent, sur le tronc, les bras, les jambes et parfois à partir d’un grain de beauté. Ses teintes sont plutôt : rouge, bleu, brun noir, gris et blanc3.
  • Le mélanome nodulaire : représente 15 à 20% de tous les cas de mélanomes. Son extension est verticale, en profondeur dans la peau. Il prend la forme d’une masse surélevée qui va dépasser de la surface de la peau. Le mélanome nodulaire peut ressembler à un champignon avec une tige ou une tête. La plupart du temps, les zones touchées sont le visage, le thorax et le dos. Il est le plus souvent noir mais peut être rouge, rose ou couleur de votre peau3.
  • Le mélanome de type lentigo malin : il représente 10 à 15% de tous les cas de mélanomes et touche davantage les personnes âgées. Il se développe, le plus souvent, sous la forme d’une grande plaque plate de couleur ocre ou brune, arborant des contours irréguliers. Il se développe souvent à partir d’une tumeur in situ, appelée lentigo malin (forme précoce de tumeur sous la couche supérieure ou externe de la peau). Il s’étend d’abord lentement pendant plusieurs années de manière horizontale puis de manière verticale. Ce sont les zones exposées au soleil comme le visage, les oreilles ou les bras qui sont touchées3.
  • Le mélanome lentigineux des extrémités : il représente moins de 5% de tous les cas de mélanomes et touche plus particulièrement les personnes à la peau foncée. Ce cancer n’a pas de lien avec l’exposition au soleil. Le mélanome lentigineux des extrémités apparait sous la forme d’une petite tache plate décolorée brun foncé ou noire. Il s’étend d’abord sur toute la surface de la peau puis descend en profondeur dans la peau. Comme son nom l’indique, il touche souvent la plante des pieds, la paume des mains, le dessous des ongles3.

Dans 80% des cas, les mélanomes apparaissent sur une peau saine, aucune tache ou lésion n’était présente. Dans 20% des cas, le mélanome se développe à partir d’un grain de beauté4.

Contrairement au carcinome cutané, le mélanome est plus rare mais peut prendre des formes plus graves, à cause de son haut potentiel métastatique, c’est à dire sa capacité à former des métastases. Une métastase est une cellule cancéreuse qui quitte le foyer de la tumeur pour aller se loger au niveau des ganglions lymphatiques en première étape avant de rejoindre à peu près n’importe quelle partie du corps (définition de métastase par Pr Robert). Il peut se développer n’importe où sur le corps. On le retrouve chez les hommes, le plus souvent, au niveau du tronc et chez les femmes, au niveau des jambes5.

Les facteurs de risque du mélanome

Le mélanome est une maladie multifactorielle. On recense en effet, des facteurs environnementaux, des modes et conditions de vie et des facteurs individuels.

Les facteurs de risque environnementaux

L’exposition aux rayons ultraviolets solaires et artificiels est un des facteurs de risque du mélanome. On distingue en effet 2 types d’UV auxquels nous sommes exposés : UVA et UVB.

  • Les rayons UVA pénètrent profondément dans la peau et provoquent son vieillissement.
  • Les rayons UVB pénètrent superficiellement l’épiderme, sont responsables des coups de soleil et sont 1 000 fois plus puissants que les UVA.

Ces deux types d’UV augmentent le risque de cancers cutanés et plus spécialement les carcinomes et mélanomes cutanés6.

Le risque de développer un cancer ou non, est lié ainsi à la dose totale d’exposition reçue. Ainsi, une forte exposition au soleil dès son jeune âge augmente le risque de contracter un mélanome au cours de sa vie. Les UV sont également responsables de l’affaiblissement du système immunitaire.

Dans 65 à 95% des cas, les mélanomes sont liés à l’exposition au soleil. En effet, une fois le capital soleil épuisé, les cellules peuvent muter et engendrer une transformation cancéreuse.

L’exposition aux UV artificiels des cabines et lampes de bronzage n’est pas non plus à négliger. Plusieurs études ont en effet montré qu’une personne s’étant exposée une fois à un appareil émettant des UV artificiels, avait 15% plus de risque de développer un mélanome cutané. Ce risque augmente de 75% lorsque l’utilisation d’appareils de bronzage démarre avant 35 ans1.

Les facteurs de risque individuels

Le développement d’un mélanome est étroitement lié au phototype de l’individu.

CaractéristiquesRéactions au soleil
Phototype IPeau très blanche, cheveux roux ou blonds, yeux bleus/verts, tâches de rousseurCoups de soleil systématiques
Phototype IIPeau claire, cheveux blonds roux à châtains, yeux clairs à bruns, parfois apparitions de taches de rousseurCoups de soleil fréquents, bronze à peine ou très lentement
Phototype IIIPeau intermédiaire, cheveux châtains à bruns, yeux brunsCoups de soleil occasionnels, bronze graduellement
Phototype IVPeau mate, cheveux bruns / noirs, yeux bruns / noirsCoups de soleil occasionnels lors d’expositions intenses, bronze bien
Phototype VPeau brun foncé, cheveux noirs, yeux noirsCoups de soleil rares bronze beaucoup

Ainsi, plusieurs causes individuelles augmentent le risque de contracter un mélanome :

  • Comme avoir la peau claire, les cheveux blonds ou roux et le fait de bronzer difficilement sont des facteurs de risques.6
  • La présence de taches de rousseur, un nombre de grains de beauté au-dessus de 40 et le fait que les grains de beauté soient larges (au-dessus de 5mm) et irréguliers sont des facteurs de risques.6
  • Les modes de vie qui imposent d’être souvent exposé au soleil et de manière intense.
  • Le fait d’avoir habité ou d’habiter dans un pays avec une forte exposition solaire (fort indice UV).6

Les facteurs de risques professionnels

Des facteurs de risques professionnels peuvent également être présentés, comme : l’exposition aux hydrocarbures aromatiques polycycliques dans le goudron de houille et le bitume ; l’arsenic dans la fabrication ou l’utilisation de pesticides en agriculture ; les rayonnements UV pour les travailleurs en extérieur par exemple1.

Symptômes du mélanome

Le mélanome cutané peut apparaître de deux manières :

  • Soit une petite tache pigmentée se développe sur une peau saine,
  • Soit par une modification d’un grain de beauté préexistant.5

Il est ainsi conseillé de surveiller le plus possible ses grains de beauté et l’état de sa peau en général. Il est ainsi important de savoir repérer si l’un de nos grains de beauté est différent des autres. La règle « ABCDE », permet de surveiller ces changements :

  • A comme Asymétrie;
  • B comme Bords irréguliers;
  • C comme Couleur non homogène;
  • D comme Diamètre;
  • E comme Évolution9.

D’autres symptômes peuvent alerter, tels qu’une région du corps qui a du mal ou qui ne guérit pas, un grain de beauté qui saigne ou suinte, une peau éraflée avec une lésion ouverte (ulcération)9

Diagnostic du mélanome

Certains cas de mélanome peuvent être difficiles à diagnostiquer.

Dans un premier temps, un examen clinique est généralement réalisé chez un dermatologue qui examine le corps et les grains de beauté de la personne. Si quelque chose semble avoir un aspect inhabituel, il utilise un dermoscope10.

Si une lésion a un aspect suspect et/ou s’est étendue à la surface, on réalise une biopsie en prélevant un échantillon de la lésion puis une analyse anatomopathologique (examen au microscope) est effectuée. Ainsi, à l’aide de la biopsie on peut déterminer la nature de la lésion (cancéreuse ou non) et le sous-type du cancer le cas échéant.11

La gravité du mélanome est étudiée en fonction de son épaisseur en millimètres appelé indice de Breslow, l’ulcération de l’épiderme et le nombre de mitoses présent au sein de la tumeur10.

À la suite de cette biopsie, si on conclut qu’il s’agit d’un mélanome et qu’un traitement est nécessaire, plusieurs examens complémentaires sont demandés :

  • Un test moléculaire réalisé par un anatomopathologiste ou pathologiste ;
  • Une exérèse du ganglion sentinelle pour les mélanomes d’épaisseurs supérieurs à 1mm ou pour les mélanomes ulcérés12.

Si le mélanome est métastatique, un dosage LDH (Lactate Déshydrogénase) par prélèvement sanguin est effectué afin de connaître le pronostic du mélanome.

Pour les stades autres que celui du stade I asymptomatique, un bilan d’imagerie médicale est demandé. Une échographie des ganglions lymphatiques, un scanner thoraco-abdomino-pelvien et cérébral ainsi qu’une tomographie par émission de positons, peuvent être réalisés12.

Mélanome : quelles prises en charge et quels traitements ?

Il n’existe pas de dépistage systématique pour le cancer de la peau et le mélanome. En revanche, quelques réflexes sont bons à connaître et à appliquer afin de prévenir l’apparition d’un mélanome.

Le dépistage par examen de la peau chez un dermatologue doit être réalisé selon vos facteurs de risques. Si vous présentez plusieurs facteurs de risques (antécédents de cancers de la peau dans la famille, peau plus sensible au soleil et avec de nombreux grains de de beauté), on recommande, en général :

  • Un auto-examen de la peau par trimestre en observant sa peau nue, de la tête aux pieds, de face et de dos et ce dans tous les recoins de votre corps (oreilles, ongles, plante de pieds, organes génitaux).
  • Un examen par un dermatologue une fois par an.

Par ailleurs, les personnes ayant beaucoup de grains de beauté sur le corps, doivent les surveiller attentivement et vérifier si leur taille, leur couleur et leur texture ne changent pas6.

Afin de prévenir les risques de mélanome :

  • Essayer de ne pas trop s’exposer et chercher de l’ombre lorsque c’est possible ;
  • Éviter le soleil durant les heures à forts niveaux d’UV : 10h-14h pour l’Outremer et 12h-16h en métropole ;
  • Porter des vêtements couvrants et si possible anti-UV (vêtements longs et amples, chapeaux, lunettes de soleil avec filtre anti-UV) ;
  • Appliquer de la crème solaire indice 50 anti-UVB et UVA toutes les 2h, après la baignade et après le sport sur les parties exposées ;
  • Veiller à bien protéger les plus petits : les enfants de moins de 3 ans ne doivent pas être exposés au soleil6.

Pour aller plus loin, découvrez la fiche pratique de l’INCA.

Et un récapitulatif détaillé des bons gestes à adopter pour se protéger du soleil.

Les traitements du mélanome

Une fois le mélanome diagnostiqué, le choix du traitement est décidé en Réunion de Concertation Pluridisciplinaire (RCP), le plus souvent entre un dermatologue, un chirurgien, un oncologue et un anatomopathologiste.

Le choix du traitement dépend ainsi de plusieurs caractéristiques : le type histologique du cancer, sa localisation, son stade, son grade et certaines données personnelles du patient13.

Le stade du mélanome est déterminé en fonction :

  • De l’épaisseur du mélanome, définie par l’indice de Breslow (degré d’extension dans les couches de la peau) ;
  • De son ulcération ;
  • Du nombre de mitoses au mm2(la vitesse à laquelle les cellules se divisent), réalisé pour les mélanomes d’une épaisseur ≤ à 1mm ;
  • De l’atteinte ou non des ganglions lymphatiques ;
  • De la présence ou non de métastases en transit ;
  • De la présence ou non de métastases à distance (que l’on retrouve le plus souvent au niveau du poumon, de la peau, du foie et du cerveau).14

Il existe ainsi plusieurs possibilités de traitement en fonction du stade du mélanome.

Pour les stades I et II, c’est-à-dire les mélanomes localisés, avec ou sans ulcération, sans ganglion lymphatique atteint et aucune métastase de transit ou à distance :

  • Le traitement consiste à retirer la lésion entière par chirurgie.
  • Pour les mélanomes de stade II avec une épaisseur <1,5mm ou pour les mélanomes ulcérés, une immunothérapie en traitement adjuvant peut être proposée et vise à réduire le risque de récidive14.

Lorsque le mélanome est métastatique (stades III et IV), l’immunothérapie et les thérapies ciblées sont le plus souvent proposées :

  • On peut, dans un premier temps, procéder à une exérèse chirurgicale des métastases.
  • Lorsque l’immunothérapie est prescrite, deux grandes familles d’immunothérapie peuvent être utilisées : les anticorps anti-CTLA-4 et les anticorps anti PD-1.
  • Au niveau des thérapies ciblées, les anti-BRAF et les anti-MEK peuvent être prescrits et souvent en association15.
  • On propose aussi parfois une radiothérapie externe en cas de métastases osseuses, cutanées ou hémorragiques, seule ou après une exérèse de métastases cérébrales. La radiothérapie stéréotaxique est utilisée pour les métastases cérébrales, pulmonaires et osseuses vertébrales14.

Plusieurs essais cliniques sont en développement pour améliorer la prise en charge thérapeutique du mélanome. De nouveaux biomarqueurs sont en phase de test et permettraient de prédire quels patients pourraient être susceptibles de répondre positivement au traitement16. Un vaccin à ARN messager est également actuellement en étude17.

Pour vous faire aider ou en savoir plus, vous pouvez vous référer ou contacter les associations suivantes :

Quelques fiches pratiques :

  1. Centre Leon Berard, « Cancer de la peau – Mélanome – Présentation ». Voir en ligne : https://www.cancer-environnement.fr/fiches/cancers/cancer-de-la-peau-melanome/.
  2. INCA, « Panorama des cancers en France – édition 2023 », 2023. Voir en ligne (p.24) : https://www.e-cancer.fr/content/download/473754/7178564/file/Panorama_des_cancers_2023.pdf.pdf.
  3. Société canadienne du cancer, « Types de mélanome ». Voir en ligne : https://cancer.ca/fr/cancer-information/cancer-types/melanoma-skin/what-is-melanoma/types-of-melanoma.
  4. INCA, « Le mélanome de la peau : points clés – Le mélanome de la peau », 2022. Voir en ligne : https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Melanome-de-la-peau/Points-cles.
  5. INCA, « Qu’est-ce qu’un cancer de la peau ? – L’essentiel sur le mélanome », 2023. Voir en ligne : https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Melanome-de-la-peau/Points-cles.
  6. INCA, « Comment mieux se protéger du soleil ? », 2023. Voir en ligne : https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Reduire-les-risques-de-cancer/Exposition-aux-rayonnements-UV/Mieux-se-proteger-du-soleil.
  7. INCA, « Cancers de la peau : quel est votre niveau de risque ? », 2021. Voir en ligne : https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Se-faire-depister/Depistage-des-cancers-de-la-peau/Niveaux-de-risque.
  8. INCA, « Comment détecte-t-on un cancer de la peau ? », 2021. Voir en ligne : https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Se-faire-depister/Depistage-des-cancers-de-la-peau/La-detection-en-pratique.
  9. Société canadienne du cancer, « Signes et symptômes du mélanome ». Voir en ligne : https://cancer.ca/fr/cancer-information/cancer-types/melanoma-skin/signs-and-symptoms.
  10. Centre Leon Berard, « Diagnostic – Cancer de la peau ». Voir en ligne : https://www.centreleonberard.fr/patient-proche/cancer-pris-en-charge/cancers-de-la-peau/diagnostic.
  11. Fondation pour la recherche sur le cancer, « Cancers de la peau : le dépistage et le diagnostic », 2024. Voir en ligne : https://www.fondation-arc.org/cancer/cancer-peau/depistage-diagnostic-cancer.
  12. INCA, « Diagnostic d’un mélanome de la peau ». Voir en ligne : https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Melanome-de-la-peau/Diagnostic-et-bilan-initial.
  13. INCA, « Mélanome de la peau – Le choix de vos traitements ». Voir en ligne : https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Melanome-de-la-peau/Quels-traitements/Le-choix-de-vos-traitements.
  14. INCA, « Mélanome de la peau – Les traitements possibles en fonction de l’étendue du cancer ». Voir en ligne : https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Melanome-de-la-peau/Quels-traitements/Etendue-du-cancer-et-traitements.
  15. Hospices Civils de Lyon, « Mélanome (cancer de la peau) », juillet 2024. Voir en ligne : https://www.chu-lyon.fr/melanome-cancer-de-la-peau.
  16. Institut Gustave Roussy, « Dix ans d’avancées scientifiques dans les traitements du mélanome », juin 2022. Voir en ligne : https://www.gustaveroussy.fr/fr/dix-ans-davancees-scientifiques-dans-les-traitements-du-melanome.
  17. 17 Hôpitaux Universitaires Genève, « Dernière phase d’essais cliniques pour le vaccin ARN messager contre le cancer de la peau », 2023. Voir en ligne : https://panorama.hug.ch/2023/derniere-phase-dessais-cliniques-pour-le-vaccin-arn-messager-contre-le-cancer-de-la-peau/.

Pour aller plus loin

Les mécanismes Les traitements Les symptômes Les chiffres

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